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Résumé Le Provencal

du 04 mai 1972

 

ILS ONT GAGNE !...

Victoire difficile mais payante

sur un SOCHAUX apathique

SOCHAUX - L'O.M. n'a pas eu à livrer comme il le redoutait, un match de Coupe pour l'emporter à Sochaux, et consolider définitivement sa position en tête du champ du classement.

Il ne s'attendait pourtant pas à discuter hier soir une partie facile. Il affrontait, en effet, l'un de ses suivants immédiats stimulé par l'espoir de participer à la Coupe de l'Union européenne dans un stade archi-comble.

On regrettait évidemment à Montbéliard le faux pas enregistré à domicile face à Paris Saint-Germain. S'il avait pu être évité en toute logique la grande explication du stade Bonal aurait été décisive ou presque.

Côté marseillais, en ne se dissimulait par son importance, les quatre points d'avance sur Nîmes pouvant fondre comme neige au soleil.

 LA MEILLEURE DÉFENSE C'EST L'ATTAQUE

On pouvait croire que dans ces conditions l'O.M. se tiendrait sur une prudence réserve comme il a l'habitude de le faire à l'extérieur, contrôlant le jeu et misant sur une contre-attaque ou un exploit individuel pour parvenir à ses fins. Il n'en fut rien, et l'on vit aussi souvent les Marseillais dans le camp sochalien que les Sochaliens dans le camp marseillais.

Ce faisant, ils se comportaient le plus sagement du monde, tant il est vrai que la meilleure des défenses c'est l'attaque, en éloignant le plus possible le jeu de leur surface de réparation.

 ÉGAL ET SANS PASSION

Nous assistions donc à un débat très égal et ouvert, les deux adversaires opérant on l'a compris, dans le meilleur esprit.

On pourra s'étonner que, dans ces conditions, la partie n'ait pas un eu l'intensité et l'intérêt qu'on pouvait l'espérer.

Comme en physique deux forces d'égale puissance s'annulent, l'O.M. et Sochaux se neutralisaient au milieu du terrain sans que les gardiens, Carnus et Battman aient à faire face à des situations dangereuses. On exceptera bien sûr l'action vivement menée par Magnusson sur son aile droite, à la 12me minute, le Suédois plaçant tout juste la balle dans la foulée de Gress, qui n'était pas plus hors-jeu... que le juge de touche ayant été à l'origine de l'annulation de ce but...

 TOUJOURS RIEN !

Le temps passait et l'on attendait toujours que la partie soit enfin lancée, car tout le monde trouvait le "round" d'observation un peu long, à part, bien sûr, les deux formations rivales, apparemment satisfaites de la situation. Elles continuaient à mener les opérations après le repos sur le même rythme égal et dans la tribune de presse bondée on commençait à se raconter des histoires car il n'y avait, il faut l'avouer, absolument rien à écrire d'autres... qu'il ne se passait rien.

Après une heure de jeu, les lazzis se mettaient à fuser depuis les gradins, où, entassés comme des sardines en boîte, les spectateurs, n'en avaient pas pour leur argent, qu'il s'agisse de puristes ou d'amateurs d'émotions fortes.

 APATHIE GÉNÉRALE

Il est bien sûr difficile de témoigner les raisons d'une telle apathie générale. Il s'agissait, en somme, d'une rencontre au sommet ou presque puisqu'elle opposait le leader à son troisième. Et l'on ne manquait pas de faire dans les tribunes les comparaisons cruelles avec le match d'Angleterre - Allemagne que beaucoup avaient fut voir retransmis la veille à la télévision.

L'O.M. et Sochaux jouèrent avec le minimum d'efforts, d'engagement, de prises de risques et, bien entendu, d'ambition, multipliant à l'infini des passes inutiles, ce qui a représente bien un véritable aveu d'impuissance.

 DE L'EXPLOIT DE BURDINO

AU BUT DE COUCECOU

Aussi, une belle tentative de Burdino prit-elle figure d'événement ! L'Aubagnais, désigné in extremis comme douzième homme et qui avait remplacé Piat, blessé à la cuisse, reprenait des deux talons, en plongeant, un centre de Vanucci, envoyant la balle juste au-dessus... Proprement ahurissante !

Ce que le sort avait refusé aux Sochaliens il allait l'accorder, peu après aux Marseillais. Couecou parvenant à lober le malheureux Battman à la suite d'un corner

Sans rien enlever au mérite de Didier, disons que ce but d'une grande incidence pour la décision finale du championnat, fut marqué presque à la sauvette, alors que l'on ne l'attendait plus, devant une défense figée.

Il permettra portant à l'O.M. de disputer la saison prochaine la Coupe d'Europe.

 À L'IMAGE DU CHAMPIONNAT

Ainsi, cette rencontre fut-elle à l'image de championnat, qui ne nous a valu qu'un minimum de rencontres intéressantes. Une rencontre, dans un championnat, représente finalement le niveau bien moyen, il faut le reconnaître, de notre football, un football surtout sans ampleur, sans grandeur, il est certain que les Sochaliens parurent s'accommoder très mal de l'absence de Georges Lech, leur grande vedette, que ni Melic, technicien remarquable mais trop âgé, ni Watteau trop lourd, ou Maier, trop brouillon, ne purent remplacer de façon satisfaisante dans son rôle d'animateur.

Quant aux Marseillais, en demi teinte, ils ne peuvent se réjouir que du résultat. Mais cela suffit sans doute à leur bonheur.

Louis DUPIC

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Jules ZVUNKA : "Le titre

est désormais en vue"

SOCHAUX - Il n'est pas besoin de faire de longs commentaires pour relater l'ambiance qui régnait dans les vestiaires marseillais après cette courte, mais combien précieuse victoire.

Mario Zatelli, que nous avions vu avant le match, le visage quelque peu soucieux, était maintenant rayonnant :

"Nous avons réussi à faire circuler le ballon, nous a dit l'entraîneur, mais sans jamais obtenir les accélérations nécessaires. Je crois, à mon sens que si les joueurs n'ont pas pu changer de rythme, c'est qu'ils accusaient une certaine fatigue.

"Il faut se mettre à leur place. Le rythme de la compétition est infernale et tout athlète ne peut donner trois fois par semaine la totalité de sa mesure. Je crois, donc que dans les prochains jours, je vais m'efforcer de réduire l'entraînement au minimum. Les garçons ont besoin de récupérer. Nous tâcherons d'arriver de cette façon jusqu'à la fin de la saison.

"Pour en revenir au match, je pense que notre victoire est indiscutable. Le but de Gilbert, en première mi-temps, était tout à fait valable et je ne comprends pas encore pourquoi l'arbitre nous l'a refusé. Gress a été également fauché dans la surface de réparation, ce qui aurait dû être sanctionné par un penalty.

"Dans ces conditions, la défaite de Sochaux me paraît tout à fait normale. Il n'empêche qu'après la première mi-temps, on voyant que le score était toujours vierge, j'ai commencé un peu à douter. Ce match était capital et nous ne pouvions pas nous permettre de le perdre. Ce qui explique, peut-être, que nous étions contractés en entrant sur le terrain. Heureusement, les joueurs ont su réagir comme il le fallait. Je ne vous cache pas qu'avant la rencontre, j'aurais signé pour le partage des points. Vous pensez alors si la victoire me comble. Croyez-moi, je suis entièrement satisfait".

M. Gallian lui aussi reconnaissait que l'arbitrage n'avait guère été arrêté en faveur des Olympiens. "J'ai dit à M. Petit, nous a-t-il déclaré, que l'O.M. avait gagné, ce soir-là par 3 à 0.

Devant son attitude étonnée, je lui ai précisé que Gress avait marqué un but tout à fait valable et que ce même joueur aurait dû obtenir un penalty, quand il a été accroché dans la surface de réparation.

"C'était bien sûr une boutade, mais ne faisons pas la petite mouche. Du moment que le but de Couecou a été validé, nous revenons à Marseille avec 2 pts précieux. Il me semble que c'est là l'essentiel".

L'opinion des joueurs maintenant :

Gilbert Gress, le premier, partageait la bonne humeur générale : "Nous avons joué d'une manière intelligente, mais décidément, il faut marquer 3 ou 4 buts pour être assuré de la victoire. Décidément, les arbitres ne sont pas tendre avec nous en ce moment.

"Par exemple, le but que j'ai inscrit en première mi-temps ne pouvait pas être sanctionné par un hors-jeu, puisque Magnusson centrait depuis la ligne de corner et j'arrivais en pleine course. D'autre part, je méritais un penalty lorsque j'ai été abattu dans la surface de réparation. Mais comme vous l'a dit tout à l'heure M. Gallian, oublions tout cela pour ne retenir que les deux points de la victoire."

Jules Zvunka, le capitaine, laissait extérioriser lui aussi sa bonne humeur : "Le titre est désormais en vue, nous est-il. Nous étions peut-être un peu contractés avant d'aborder la rencontre. Car, après le match nul concédé contre Reims, cette partie contre Sochaux revêtait une importance primordiale. Je crois que si l'O.M. avait perdu, ajoutait-il avec un sourire, je serais resté ici dans le Doubs pour me mettre au vert. Heureusement, il n'en est rien et je crois que nous pouvons tous rentrés à Marseille la tête haute".

"C'est un scandale, tempêtait pour sa part Magnusson. Je me demande encore pourquoi l'arbitre a refusé le but de Gilbert en première mi-temps. En aucune façon, il ne pouvait être hors jeu. Enfin, c'est gagné. N'en parlons plus. Mais je vous assure que j'ai rudement souffert, au cours de cette rencontre. Cela faisait cinq jours que j'étais avec un gros rhume et je ne demandais si je pouvais tenir les 90 minutes. Maintenant je vais essayer de récupérer. Je pense que le championnat est gagné. Désormais l'O.M. peut se consacrer à la Coupe de France."

Kula, pour sa part été à l'origine du but marseillais était encore sous la douche quand nous sommes venus lui demander ses impressions : "Je ne suis pas mécontent de moi, nous a dit l'arrière olympien. Battre Sochaux à domicile, il fallait tout de même le faire. Les spectateurs marseillais, j'en suis sûr, après nous avoir vu en condition moyenne devant Reims, ne vont pas en revenir. Mais vous savez, c'est cela le football. Il y a des hauts et des bas pour tout le monde".

 LES SOCHALIENS DÉÇUS

Dans le camp sochalien, c'est la déception que nous avons trouvée. L'entraîneur Barret estimait à tort ou à raison que la rencontre s'était jouée sur un coup de dés.

"Sur l'ensemble de la partie, je pense que le match nul aurait été équitable. Et pour tout dire, un point aurait fait l'affaire des deux équipes. L'O.M. a su mieux profiter de ses occasions. Je ne pense pas cependant que cette défaite compromettre notre fin de saison. Il reste encore quatre matches à disputer et les quatre équipes que nous allons rencontrer ne seront pas toutes de la valeur des Marseillais. A nous d'en faire le meilleur profit pour avoir droit à disputer une coupe européenne.

 LECH : UNE PETITE CHANCE DE DEVENIR OLYMPIEN

Après les déclarations que nous a faites M. Gallian au sujet de Georges Lech, nous sommes allés trouver l'international sochalien qui, on le sait, n'avait pas participé à la rencontre.

- Est-ce que votre transfert est définitivement conclu avec Reims, lui avons-nous demandé ?

- Non, nous a-t-il répondu. Je suis simplement en pourparlers très avancés, mais pour l'instant, rien n'est conclu de façon définitive.

- Existe-t-il une chance que vous veniez encore à Marseille ?

- Oui, a répondu Lech, une petite chance. J'ai eu des accords verbaux avec Reims, mais jusqu'à là, l'O.M. ne m'avait pas fait de propositions concrètes. Or, ce soir, M. Gallian m'a fait en quelque sorte une offre d'emploi et je ne vous le cache pas, je commence un peu à réfléchir.

Jean FERRARA

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COUECOU donne à l'O.M. une victoire

précieuse sur SOCHAUX (1-0)

SOCHAUX - Un ciel bas nous attendait en arrivant au stade Bonal, mais aussi une bonne nouvelle : Roger Magnusson allait tenir sa place à l'aile droite, renforçant du même coup les chances olympiennes de se sortir du guêpier sochalien.

C'est donc la meilleure formation possible, compte tenu de la blessure de Bonnel, que Mario Zatelli alignait dans cette 34me journée championnat. Ou, si vous préférez, 34me soirée, qui, façon, s'avérait lourde de conséquences.

Côté sochalien, si le forfait de Georges Lech était confirmé, Seles faisait sa rentrée en défense, ce qui donnait les équipes suivantes :

Sochaux : Battman, Vanucci, Seles, Burkle, Wasmer, Perrin, Watteau, Maier, Piat, Melic, Lechantre. 12me homme : Posca.

O.M. : Carnus, Lopez, Bosquier, Zvunka, Kula, Novi, Gress, Magnusson, Hodoul, Skoblar, Couecou. 12me homme : Di Caro.

Arbitre M. Petit.

Il est bon de signaler que l'O.M., une fois de plus, avait fait le plein en déplacement. Mais ce succès populaire avait été prévu depuis longtemps, de sorte que la densité des spectateurs au stade Bonal ne fut une surprise pour personne.

 GRESS : BUT REFUSÉ

Quoi qu'il en soit, Sochaux, comme prévu aussi, démarre très vite. Un coup franc à la limite tiré par Melic est même à deux doigts de tromper Carnus : la balle déviée au passage par Zvunka, est cependant captée par le portier marseillais (2e minute).

C'est aussitôt après un tir croisé de Lechantre qui met à contribution la défense olympienne, mais la balle sort.

Réaction de l'O.M. par un déboulé sur l'aile de Magnusson, dont le centre-tir arrive dans les bras de Battman (6e minute).

Magnusson, encore lui, obtient deux corners consécutifs, le troisième de la série revenant à Gilbert Gress, sans plus de résultats.

L'O.M. en tout cas, semble avoir desserré l'étreinte.

Nous en avons confirmation avec un nouveau centre de Magnusson et une reprise de Gress qui fait mouche (12e minute). Hélas, l'arbitre avait vu l'Alsacien hors jeu et annule le point. Dommage que la faute n'ait pas paru évidente à tout le monde. Il n'en reste pas moins que la domination marseillaise est évidente.

 DOMINATION MARSEILLAISE STÉRILE

Wasmer bénéficie pourtant d'un contre favorable et donne un peu d'air à ses camarades en venant tirer vers les buts de Carnus (17e minute).

Encore une fois la balle est déviée par le mur défensif des Marseillais, mais l'action, de toute évidence, était fort dangereuse, comme cette tête de Vanucci consécutive à un corner sochalien qui arrive dans les bras de Carnus (19e minute).

Au tour de Skoblar, que l'on n'avait pas vu beaucoup jusqu'ici, de tirer dans la foulée (24e minute) : la balle, bien frappée, manque l'encadrement.

L'O.M. aussitôt après à l'occasion de conclure sur une déviation de Couecou pour Gress ; Gilbert ne peut redresser tout à fait le ballon, qui vient frapper l'extérieur des filets (26e minute).

Encore Skoblar qui slalome au sein de la défense doubiste, mais il tire trop mollement pour inquiéter Battman (28e minute).

L'O.M. domine toujours sans pouvoir concrétiser son avantage. La première demi-heure est atteinte sans modification au tableau d'affichage.

 ÉGALITÉ À LA PAUSE

Sochaux essaie pourtant de se dégager par Perrin qui se heurte à un magnifique arrêt de Carnus (31e minute).

Et l'O.M. repart sans tarder, notamment par un relais de Magnusson - Gress, ce dernier se faisant même proprement écrouler dans la surface de réparation sans provoquer de réaction de l'arbitre (33e minute).

On assiste ensuite à une légère pression de l'équipe sochalienne, qui tente de réagir dans les dernières minutes de la mi-temps, mais ses attaques sont menées le plus souvent de façon imprécise, de sorte qu'elles ne présentent pas un bien gros danger pour Carnus et ses ultimes défenseurs.

Égalité donc à la pause, et si l'O.M. n'a pas ouvert la marque en peut dire qu'il mène sans discussion aux points.

 TOUJOURS PAS DE BUT

A la reprise, Piat te porte un bandeau sur la cuisse et s'exile à l'aile droite. Maier prenant sa place au centre de l'attaque sochalienne. Ce dernier joueur est d'ailleurs touché d'entrée dans un choc avec Skoblar, mais sans gravité apparente.

Revenons au jeu pour signaler que Burkle crochette Skoblar au moment où Josip s'apprêtait à entrer dans la surface de vérité (49e minute).

Sochaux s'en tire avec un coup franc, ce qui n'est pas cher payé.

Un bel arrêt de Carnus sur un centre de Vanucci (50e minute) et c'est encore le signal d'un nouveau forcing marseillais. La balle circule d'un pied olympien à l'autre, mais Battman a beau lâcher la balle sous le nez de Couecou, rien à faire, l'O.M. ne parvient toujours pas à conclure.

Kula, pour sa part, vient tenter sa chance après un échange avec Couecou. Un tir de l'arrière marseillais est bien dirigé vers l'angle des buts sochalien, mais Battman arrête (57e minute).

Sur le renvoi, Wasmer se met à son tour en position, mais ne trouve pas l'encadrement. Surprise ensuite en voyant Burdino prendre la place de Piat, alors que l'entraîneur Barret, avant le match, nous avait donné Posca comme 12me homme. Un changement de dernière minute sans doute. Cela n'empêche pas Couecou de lancer un raid solitaire avant de servir Hodoul. Mais Battman, encore une fois, arrive le premier.

 ENFIN COUECOU

Tout démontre, là encore, que l'O.M. a le match en main, mais les actions marseillaises, elle aussi, paraissent manquer de tranchant, ce qui permet aux défenseurs adverses de subir la rencontre sans autre dommage.

On note, pourtant un tir de Burdino qui frôle la transversale de Carnus avant de sortir (70e minute).

Est-ce le réveil de Sochaux ? On ne peut guère l'affirmer devant ces offensives bien timides. De toute façon, les deux équipes ne donnent guère l'impression de livrer un match au sommet.

Une très belle action cependant à mettre à l'actif de Burdino, qui reprend acrobatiquement un centre de Lechantre. Mais une fois de plus, la trajectoire a été mal calculée (75e minute).

Kula se met encore en évidence en tirant dans la lucarne de Battman. Le gardien sochalien détourne en corner, mais cette fois le coup de pied de réparation va lui être fatal (80e minute). Hodoul le donne en effet directement sur Couecou. Didier, au lieu de tirer, amortit la balle, attend la sortie du gardien adverse, et le lobe d'une façon remarquable (81e minute).

Enfin la balle au fond des filets. L'O.M. a pris une option sur la victoire, il va sans dire qu'après ce tir victorieux, à quelques minutes de la fin, l'équipe olympienne fait son possible pour, éviter le retour adverse.

En définitive, elle n'aura pas à puiser dans ses ressources pour confirmer un succès que, sur l'ensemble du match elle a tout à fait mérité.

Jean FERRARA

 

 

 

 

 

 

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