OM1899.com

 Résumé du Petit Marseillais

du 16 décembre 1935

 

---------------------

Résumé de Marseille Matin

du 16 décembre 1935

 

Victoire aisée de l'OM sur le F.C. Scionzier

____________________

O.Marseille : 8 buts - F.C. Scionzier : 1

Affirmer que le club savoyard a tenu la dragée haute aux Professionnels olympiens, aurait immédiatement pour démenti importance assez respectable du score. Mais il serait par contre injuste de ne pas souligner la bonne tenue d'ensemble des visiteurs dont l'équipe vaut certainement mieux que la quelconque des teams du sud-est, opérant en promotion.

Il imposèrent au jeu une rapidité que l'O.M. adopta d'ailleurs avec bonne grâce et leur mérite n'est pas nul d'avoir fait, sommes toutes, bonne contenance.

Les Savoisien manquent de classe. Cela ne surprendra personne, mais si leur tactique n'atteint pas un niveau suffisamment relevé pour des spectateurs habitués à un football de choix, leurs mouvements ont toutefois une certaine allure. Le ballon ne vogue pas au hasard des caprices des joueurs ; on sent une application constante à orienter le jeu dans les meilleures conditions possibles et ce n'est déjà pas mal pour de simples amateurs. Quelques individualités ont affiché un talent intéressant et l'équipe de l'accueillante cité de Scionzier peut-être crédité d'un bon match, compte tenu cela va sans dire, du manque d'équilibre prévu de la partie.

L'O.M. a joué avec brio, stimuler sans doute par la nécessité de provoquer une réaction bienfaisante contre les morsures du froid. Il aborda évidemment la rencontre avec une tranquille l'esprit complète. Qu'il soit dit cependant à sa louange, que ses équipiers ne s'attardèrent pas à des fantaisies inutiles. On parut au contraire, rechercher une formule de jeu rapide, incisif et si les circonstances doivent être considérées comme très favorables, il convient néanmoins de conclure à une expérience prometteuse. Il y eut bien une part très importante imprécision dans les tirs, mais l'essai demande à être poursuivi. Plus l'O.M. jouera vite, plus ses chances de vaincre s'accroîtront à condition que ces forwards dirigent mieux leurs shots. Et dimanche à Fives il faudra précisément que ces shoots soient parfaitement ajustés si l'on veut prendre en défaut la vigilance deDalheimer...

La rencontre d'hier ne comporte aucun renseignement sur la tenue probable des Marseillais dans la Coupe. Attendons le tirage au sort du prochain tour et surtout le résultat du 1/16e de finale auquel participeront les Phocéens pour envisager, il y a encore lieu de le faire, leurs possibilités dans ce domaine.

La Partie

Elles s'engagent à 13 heures 45, sous la direction de M. Brunner et met en présence des joueurs suivants :

F.C. Scionzer : Rech, Coudurier, Lacroix, Dumont, Szemann, Chappaz, Perrillat, Cavalli, Maochon, Koumrouyan et Pattaroni

O. Marseille : Di Lorto, Kurka, H. Conchy ; Bastien, Bruhin, Rabih ; Zermani, Alcazar, Rociglione, Janin et Kohut

La première attaque et pour l'O.M. et en réplique, Bruhin pressé par Cavalli doit mettre la balle en corner.

Bastien s'empare du ballon, sert il met impeccablement Roviglione qui d'un botté très sec, ouvre le score à la 5e minute.

O.M. : 1 ; Scionzier : 0.

Les visiteurs conduisent une vigoureuse offensive et Di Lorto doit intervenir sur heading de Cavalli.

L'O.M. obtient un corner. Zermani le tir, Alcazar reprend et marque à la 10e minute.

O.M. : 2 ; Scionzier : 0.

Un shoot de Pattaroni rase la transversale ; Di Lorto était battu

Kohut s'échappe, prend de vitesse ses poursuivants. Il arrive à proximité des buts de Rech, fait une passe opportune à Zermani qui marque de près à la 15e minute.

O.M. : 3 ; Scionzier : 0.

Scionzier qui n'a pas cessé inquiéter l'O.M. réagit et un shoot puissant de Maochon ne peut être bloqué par Di Lorto. La balle monte pour retomber juste derrière la transversale.

C'est encore Kohut que nous trouvons à l'origine du quatrième but. L'ailier gauche centre a mi-hauteur, Dumont rabattu fait le jeu de l'O.M. en mettant sur le pied de Janin une balle que l'inter s'empresse de loger dans les filets.

O.M. : 4 ; Scionzier : 0.

La mi-temps survint sur ce score. Dès la reprise l'O.M. conduit une rapide offensive. Roviglione lance Zermani. L'ailier droit se rabat et place la balle hors de portée du pôle.

O.M. : 5 ; Scionzier : 0.

Zermani récidive peu après sur centre de Kohut.

O.M. : 6 ; Scionzier : 0.

Des Phocéens dominent nettement. Mais ils se heurtent à une résistance opiniâtre de leurs shoots s'appliquent à secouer les arbres qui bordent l'Huveaune. Un départ de Cavalli se termine par un shoot que Di Lorto arrête. Sur le dégagement du goal olympien, Rabih lance Kohut, l'ailier feinte Dumont et place de 25 mètres un de ces shoots dont il a le secret et qui accroît l'actif de son team.

O.M. : 7 ; Scionzier : 0.

Les Savoyards rassemblent leurs énergies et se ruent à l'assaut de Di Lorto. Le keeper phocéen menacé par trois gaillards oublie qui ne peut faire réglementairement que quetre pas se dessaisir de la balle. M. Brumer accorde un coup franc aux visiteurs à l'intérieur des 18 mètres. Moachon le botte en direction de Cavalli qui bat Di Lorto d'un heading précis.

O.M. 7 ; Scionzier : 1.

Une descente de Kohut fera compensation, car elle se termine par un centre transformé en but par Roviglione.

O.M. : 8 ; Scionzier : 1.

Les Savoisiens ont sauvé l'honneur et comblé leurs désirs. C'est ce que pense l'arbitre en renvoyant des équipes au vestiaire.

Condidérations

Le Football-Club de Scionzier, dont le palmarès sorne de résultats flatteurs si l'on rappel que ce onze opère en Promotion du Lyonnais est venu à Marseille avec l'intention de se défendre, s'est acquitté de sa tâche d'une façon très plaisante. On peut dire que son ardeur à agréablement surpris et que le but concédé par l'O.M. récompense assez mal les efforts déployés par les Savoyards.

Le joueur le plus en vedette fut Lacroix, arrière puissant mais occasionnel, qui opère ordinairement au poste de demi-centre. Il est donc probable que son action eut été encore plus efficace à cette place.

Rech effectua de très jolis arrêts. Coudurier seconda intelligemment son partenaire. La ligne médiane enlevée par Szemann transfuge de Saint-Étienne - et non qualifié d'ailleurs pour la Coupe - est accrocheuse, mais elle fut impuissante à contenir les Olympiens. Bonne partie de Moachob et de Cavalli forwards très entreprenant, malheureusement mal secondé par des ailiers aux moyens physiques diamétralement opposés, mais aussi peu en relief l'un que l'autre.

Il est heureux que Di Lorto ait pu reprendre sa place hier dans le onze phocéen. Le goal olympien n'a pas en effet opéré avec sa sûreté coutumière. Une inaction prolongée explique cette défaillance qui est en quelque sorte la manifestation d'une rééducation obligatoire après une blessure. Cette prise de contact sera certainement suffisante pour lui permettre une réadaptation rapide et éclatante en face des vigoureux fivois.

Kurka eu lui aussi un départ un peu difficile. L'effet du froid sans doute. Il se reprit d'ailleurs fort bien pour constituer avec H. Conchy, excellent, une paire de backs solides et adroits.

Les demis n'eurent aucune peine à supplanter leurs vis à vis. Ils s'appliquèrent à jouer vite et à varier leurs services. Ceux-ci auraient pu être utilisés par les forwards plus précis.

L'aile gauche olympienne constituait par le tandem Janin-Kohut, domina son homologue de droite aussi active mais plus brouillonne. Alcazar fit preuve d'une bonne volonté manifeste, sans toutefois jouer avec son brio habituel. Zermani marque à trois buts. Il en "loupa " sans doute autant. Ce sympathique garçon souffre toujours de sa section en début de la saison.

Roviglione paru mieux shooter qu'à l'ordinaire. Il bredouilla par contre avantages dans la dispute de la balle. Souhaitons qu'ils réussisse bientôt à concilier son shot et son dribbling de façon qu'il puisse tirer profit des occasions nées de sa ténacité et de son allant.

M. Brunner arbitra avec autorité une partie facile, dernière phase éliminatoire de la Coupe et prélude des palpitantes rencontres à venir.

Jean JAVELOT

. la _______________________________________________

 

Résumé du Petit Provencal

du 16 décembre 1935

   

-------------------------------------------------

 

Résumé le Méridional

du 16 décembre 1935

 

Comme prévu, l'O.M. a aisément disposé par 8 à 1 du F.C. Scionzier

____________________

Mais les Savoyards donnèrent aux Olympiens une réplique extrêmement plaisante

La Coupe exerce toujours un vif attrait sur les masses sportives. La preuve en fut fournie hier à Marseille par ses quelque trois mille spectateurs qui vinrent au stade Fernand Bouisson malgré un froid de canard, assister au match couru d'avance qui opposée l'O.M. au F.C. Scionzier, totalement inconnu dans notre région.

En fait ces " mordus " ne regrettèrent pas leur déplacement. Si, en effet, comme prévu, les Marseillais disposèrent aisément de leurs adversaires, les Savoyards de leur donnèrent pas moins une réplique extrêmement plaisante. Ne jouant jamais battus, malgré un score défavorable dès le début, il " combinèrent " si bien qu'ils réussirent finalement à réaliser leur plus cher désir, à savoir : battre Di Lorto.

Le FC Scionzier

O.M. : 7. Havre A.C. : 1. O.M. : 8 : FC Scionzier : 1. Rapprochement, on le voit qui tend à égaler les promotionnaires de Savoie aux professionnels normands ; certes Scionzier serait battu par les Havrais ; avons voulu toutefois souligner ainsi la bonne performance réalisée par les amateurs de ce district du Lyonnais.

Au vrai rarement une formation non professionnelle nous a montré autant de connaissances étendues en football, d'homogénéité, de talent. Et si le FC Scionzier sont nombre en France, ce que nous croyons, le sport amateur de la balle ronde affiche d'immense progrès. Que dans une toute petite ville de moins de 3000 habitants, on puisse former une équipe aussi valeureuse le confirmerait s'il en était besoin.

Scionzier emportera toute la sympathie des sportifs de notre ville parce qu'il a su, au surplus, accepter le début avec intelligence, non pas pour limiter le score mais bien, aussi que ses dirigeants l'avaient dit, pour prendre la meilleure leçon possible. Ce faisant du reste, il a mieux servi ses intérêts parce que l'attaque est encore le meilleur moyen de se défendre et l'on vit bien, à plusieurs reprises, que les Savoyards n'avaient pas grand chose à apprendre de l'O.M. du point de vue du jeu d'équipe.

Le FC Scionzier a été battu surtout parce qu'il n'aligne, e ne peut aligner des individualités capables, au moment décisif d'imposer leur loi. Il ne sort pas diminué pour cela, de la rencontre. Bien au contraire.

Il aligna a coup d'envoi :

Rech

Coudurier, Lacroix

Dimont, Szemann, Chappaz

Perrilat, Cavalli, Moachon, Koumrouyan, Pattaroni

André OLLIVIER

.

.

Le Match

O.M. SCIONZIER

L'un d'eux pas qualifié pour la Coupe : Szemann ; les dirigeants du FC Scionzier, le geste vaut d'être indiqué, le dirent à ceux de L'O.M. en expliquant que leur team désirait simplement réaliser un bon match.

Se Szemann pâlit, bien entendu, devant Bruhin. Toutefois il "tint" ses co-équipiers et Scionzier bénéficia de ces directives éclairées.

Toute la ligne de demis, d'ailleurs, se mit en évidence. Chappaz plus encore par sa finesse de touche et ses excellents services. Le goal ne pouvait que limiter le score et, jamais affolé, il parvint aidé par deux arrières puissants et déblayeurs.

Seuls les avants manquèrent - il fallait s'y attendre - de finish. Ceux de Cannes ne battirent point Kurka Henri Conchy ; ceux de Scionzier ne pouvaient espérer mieux. Pourtant Moachon et Cavalli exploitèrent habillement les bons services de leurs camarades tandis que le " bon gros " pilier Patarreni, vétéran plein de bonne volonté, afficha de bon restes.

En bref, il ne nous étonne plus que le FC Scionzier est passé quatre tours de Coupe. Il faut bien des équipes régionales cotées et avec deux ou trois vedettes pourraient prétendre à mieux encore. Scionzier était inconnu samedi, désormais nous rechercherons ses victoires dans les palmarès de Savoie et du Lyonnais avec la certitude de les y trouver.

Sur l'O.M.

La performance les savoyards ternit presque l'éclat du succès olympien. Par contraste, les Marseillais ne parurent point aussi adroits et efficaces qu'on le désirait. Hâtons nous de préciser ici qu'assurés de vaincre ils employèrent autant dire jamais ses moyens athlétiques dont ils disposent et qui leur sont, en les grandes circonstances d'un puissant recours.

Simplement désiré de réaliser un bon entraînement l'O.M. voulant jouer au plus fin se fit souvent prendre en contre. Nous ne le regrettons pas puisque la partie conserva de l'intérêt jusqu'au coup de sifflet final sans qu'en aucune manière soit compromise les chances du club marseillais.

Le vent et le froid génèrent certainement les Olympiens ; pourtant on eut dix fois l'occasion de regretter que Janin, Zermani, Roviglione et aussi Alcazar aient envoyé leurs shoots hors du cadre de la cage. Il est vrai que leur chef de file Kohut se paya le même luxe, ce qui prouve, après tout, que l'entreprise n'était pas si aisée.

Qu'eussent prouver, du reste, douze buts au lieu de huit ? Rien. Et pour les raisons déjà indiquées, l'O.M. à donner la réplique aux FC Scionzier sur le ton qui convenait. C'est de bonne propagande.

Di Lorto, dont c'était la rentrée, n'eut autant dire rien à faire. Sur les deux occasions qu'on lui fournit pour s'employer il mit la première fois en corner le shoot de Pattaroni et la seconde fois, ratant le centre bien placé, du même, se fit battre de tout près l'astucieux Cavalli.

Kurka et Henri Conchy s'entraînèrent comme aussi trois demis.

En avant en s'amusant. Un peu trop peut-être. Les shots partaient à retardement et seul Kohut en plaça un digne de ce nom qui prit Rech en défaut. Les autres buts advinrent sur des démarquages imprévus le goal se trouvant seul avec l'attaquant.

Mais nous l'avons dit, L'O.M. joua au petit trot et convient donc de ne tenir aucun compte d'une sorte d'entraînement au demeurant fort utile. Peut-être écrire, sans faire hausser les épaules aux détracteurs de Roviglione que l'avant-centre paru disposé à shooter un peu plus puissamment et de loin... Mais qu'il fut toujours aussi malheureux quant aux résultats obtenus.

Huit buts à un

Le fait que Scionzier gagna le " toss " est prit le vent dans le dos a contribué sans aucun doute à conserver au match incertain équilibre, les dégagements savoyards gagnant dans cette première partie terrain appréciable.

Dès envoi, Roviglione perce mais son shoot est détourné en corner et sur le renvoi c'est Bruhin qui accorde la même faveur à Scionzier.

Alcazar ouvre alors sur Zermani qui se rabat et met son centre shot sur la barre. Ce n'est que partir. Vingt secondes plus tard, Bastien ouvre de loin en profondeur sur Roviglione qui file entre les deux backs et marque de tout près. O.M. : 1.

Sur coup les Olympiens obtiennent deux corners. Puis Pattaroni si l'on peut dire, s'envole, bat Kurka et centre sur la tête de Moachon qui envoie au-dessus. Corner encore pour les blancs. De volée Alcazar transforme. O.M. : 2.

Mais toujours Scionzier s'infiltre par les petites dans l'attaque un sprinter shooteur... Kouroumyan rate de peu la cage et Janin l'imite par deux fois.

Voici Kohut qui s'échappe attire les arrières et sert Zermani seul devant Rech. Tir, but. O.M. : 3

Coup franc contre Bruhin, Di Lorto ne plus mettre en corner le très jolie essai de l'ailier gauche. Toujours le jeu s'en va d'un camp à l'autre. Bolide de Kohut, tentatives manquées de Moachon, but de Zermani refusé, shots du même et de Kohut renvoyés par Rech. De Roviglione encore.

Les sur centre court de Kohut, Lacroix freine la ba lle et Janin survenant en trombe marque de très. O.M. : 4.

Un but par quart d'heure en sommes, dans intervalle desquels Scionzier menaçant parfois ne peut réaliser. Mi-temps. Le vent tombe et le froid sévit. On bat la semelle dans la tribune des populaires où se sont réfugiés tous les spectateurs.

Dès la reprise Roviglione perce mais Rech sort et renvoie au pied. Alors l'avant-centre lance gentiment Zermani qui avance un peu et marque. O.M. : 5. Kohut, plus souvent servi s'amuse comme une petite folle, fait admirer sa classe, feinte tant qu'il veut, déboule et cherche à faire marquer ses camarades. Rovi reçoit l'un de ces centres courts, shoote puissamment, mais oui ; une jambe arrête. Sur un autre centre Zermani s'aidant de la main pour sauter plus haut, envoie la balle dans la cage. O.M. : 6.

La barre arrête un coup de pied à suivre de Bruhin, Alcazar et Janin loupent encore,. Et Scionzier ne se décourage pas,. Pattaroni laisse passer une belle occasion de marquer ; on ne l'encourage pas moins pour cela.

Et enfin, l'exploit du match ; comme devant Le Havre, Kohut feint deux fois en un mètre, fait le " boulevard " devant lui et le tir impeccable de force et de direction par Rech. O.M. : 7.

Scionzier marque

Kohut reprend alors ses distributions de services que Janin, Zermani ou Alcazar s'obstinent à ne pas exploiter.

Contre-attaque de Scionzier. L'O.M. est pénalisé, à la limite des dix-huit mètres, Szemann donne le coup franc en biais, vers le côté opposé des filets,. Di Lorto saute vainement et Cavalli habilement placé de la tête, envoie la sphère dans la cage. O.M. : 7 ; Scionzier : 1.

But que le public applaudit vigoureusement pour témoigner sa sympathie aux méritants savoyards.

Mais l'O.M. ne pas rester sur cet exploit. Kohut déboule et tout près de la ligne blanche renvoi en arrière sur la tête de Roviglione qui bat irrésistiblement Rech. O.M. : 8 ; Scionzier : 1.

Tandis que le soleil a disparu et qu'il règne sur le stade une température sibérienne Rech est l'objet d'un bombardement en règle dont il se tire sans autre dommage. L'arbitre envoie alors les deux teams aux vestiaires. Ainsi L'O.M. est qualifié pour les seizièmes de finale. Nul doute que le prochain match présente bien plus de difficultés que celui d'hier

 André OLLIVIER

la _______________________________________________

Merci à Madame Hyvert Noëlle pour son aide à la réalisation de la feuille de match ainsi que pour les photos et documents

.

.

 

.

.

Toute reproduction intégrale ou partielle des textes ou photos est strictement interdite.