OM1899.com

.Article de om.net

du 24 septembre 2013

Les bleus donnent la leçon aux Verts

 

L'Olympique de Marseille remporte le choc des légendes face à Saint-Etienne, 2 buts à 1 grâce à Mendy et Imbula. Les deux jeunes Olympiens marquent leur premier but en Ligue 1 et replacent l'OM sur le podium du championnat.

Ils découvrent à peine la Ligue 1 depuis quelques semaines. Ils placent déjà l'Olympique de Marseille sur le podium ce soir. Les bleus, comme on dit, Benjamin Mendy et Giannelli Imbula, ont permis à l'OM de remporter un match qu'il a globalement dominé, se procurant les plus belles occasions, malgré quelques frayeurs. Ils ont aussi prouvé qu'ils avaient la carrure pour porter sans gêne le maillot blanc. Bien épaulés par d'autres Bleus, ceux de l'équipe de France, Payet et Valbuena, une nouvelle fois précieux.

Le latéral gauche Olympien a ouvert la voie. Il a libéré le stade au terme d'un contre canon mené par ses aînés, Dimitri Payet et Mathieu Valbuena. Le dernier cité délivrant le centre décisif pour Mendy, au second poteau, qui reprenait juste après le rebond du plat du pied et lobait Stéphane Ruffier, resté stoïque. Le portier stéphanois n'en revenait pas. Le public marquait un temps d'arrêt. Puis exultait. L'ancien Havrais ouvrait ainsi son compteur but avec l'OM. Imbula l'imitait quatre minutes plus tard. Là aussi, l'action était limpide : de gauche à droite, l'OM baladait son adversaire. Fanni centrait. Zouma déviait la trajectoire. Imbula n'avait plus qu'à placer son pied gauche en opposition pour tromper Ruffier une fois encore impuissant.

L'OM avait fait le break et même le penalty litigieux accordé aux Verts, transformé par Ghoulam, n'y changeait rien. L'OM était plus fort ce soir et, sans un grand Ruffier, la note aurait pu être plus lourde. Le portier de l'ASSE sortait par deux fois les tentatives millimétrées de Valbuena en première période. Il devait même s'employer sur un centre contré par Zouma qui prenait le chemin de son but en seconde. Les Verts tentaient, mais la défense olympienne dégageait à nouveau la sérénité qui faisait sa force l'an passé. Nicolas Nkoulou et Lucas Mendes repoussaient à tour de rôle les assauts stéphanois ne laissant que quelques restes à Steve Mandanda, impérial dans les airs.

Après trois matches sans victoire en championnat, l'OM reprend sa marche en avant. Il reste collé au peloton de tête. Lui met la pression avant les matches de demain. Les Olympiens sont dans la situation dont ils rêvaient avant la rencontre. Ils peuvent remercier leurs bleus.

Auteur : Allan Chausard

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Article de laprovence.com

du 24 septembre 2013

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L'OM renoue avec la victoire face à Saint Etienne (2-1)

 L'OM s'est imposé face à l'AS Saint-Etienne (2-1) au terme d'une partie très compliquée. Entreprenants en première période, les hommes d'Elie Baup ont peu à peu sombré et se sont faits de nombreuses frayeurs en fin de rencontre.

Pourtant rien ne laissait présager une fin de match aussi haletante pour les Olympiens.

Dès les premières minutes les coéquipiers de Steve Mandanda prenaient le jeu à leur compte sans toutefois faire trembler les filets de Ruffier.

Il fallait attendre la moitié de la première période pour assister à l'ouverture du score. Benjamin Mendy reprenait du plat du pied un centre de Valbuena et trompait Ruffier (1-0, 22).

Complètement submergés par la puissance offensive olympienne, les Stéphanois craquaient une seconde fois quelques minutes plus tard.

Gianelli Imbula était à la conclusion d'une superbe action collective et creusait l'écart d'un plat du pied imparable (2-0, 26).

Tout allait bien pour l'OM jusqu'à ce que Said Enjmi s'en mêle. L'arbitre désignait un point de penalty pour une faute de main involontaire de Romao.

La décision est sévère mais Faouzi Ghoulam ne fait pas d'état d'âme en transformant le penalty (2-1, 31).

En fin de première période, Valbuena avait l'occasion par deux fois de mettre le but du break mais s'inclinait face à un Stéphane Ruffier en grande forme (36, 45).

Au retour des vestiaires, l'OM proposait un visage aux antipodes de celui de la première période : terne et apathique.

Incapables d'aligner trois passes consécutives sans perdre le ballon, les Olympiens ont subi la majeure partie de la seconde période. Sans une excellente charnière Nkoulou-Mendes, l'issue de la rencontre aurait pu être complètement différente.

L'OM s'impose et met fin à une spirale négative de 4 matches sans victoire. Les hommes d'Elie Baup sont provisoirement à égalité de points avec Monaco en tête du championnat. Il faudra confirmer ce week-end à Lorient.


Auteur : Laurent Desbuissons

 

 

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Article asse.fr

du 24 septembre 2013

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OM 2-1 ASSE : Une entame préjudiciable

Rapidement menés 2-0 à cause d'une grosse pression marseillaise, les Verts ont toujours cherché à produire du jeu. Ils ont réduit le score par Faouzi Ghoulam et ont eu quelques occasions d'égaliser. Mais, cela n'a pas suffi face à l'actuel co-leader du championnat.

Privée, au coup d'envoi, de quatre éléments majeurs, Loïc Perrin, Jonathan Brison, Brandao et Benjamin Corgnet, l'ASSE n'a pas réussi d'exploit dans un stade Vélodrome, en grande partie rénové, et enfin digne de son bouillant public. Confrontés au pire scénario avec deux buts encaissés au bout de vingt-six minutes de jeu, les Verts ont, d'abord, craint le pire mais ils ont trouvé les ressources pour réagir. Faouzi Ghoulam a sonné la révolte en réduisant le score sur pénalty. Jusqu'au bout, les Stéphanois ont poussé pour égaliser. Mais, si la défense marseillaise a plié, elle n'a plus rompu. Les Verts sont repartis ainsi bredouilles du Stade Vélodrome mais avec un blessé supplémentaire. Victime d'une entorse de la cheville en seconde mi-temps, Yohan Mollo a rejoint l'infirmerie .

D'entrée, la défense stéphanoise était mise à rude épreuve. Stéphane Ruffier s'interposa avec autorité sur un centre vicieux de Jordan Ayew (6e). Une minute plus tard, habilement décalée par Dimitri Payet, Rod Fanni expédia un missile au-dessus de la transversale. L'ASSE ne voulait pas subir. Faouzi Ghoulam montra la voie mais sa frappe puissante ne fit que trembler le filet extérieur de Steve Mandanda (11e).

Marseille fait le break en quatre minutes

L'OM gardait le monopole du ballon et des occasions. A force de pousser, les Marseillais firent craquer la défense stéphanoise. Une frappe écrasée de Benjamin Mendy à la réception d'un long centre de Mathieu Valbuena trompa Stéphane Ruffier (22e : OM 1-0 ASSE). Euphorique, l'OM récidivait quatre minutes plus tard. Imbula reprit victorieusement un centre rasant de Rod Fanni (26e : OM 2-0 ASSE)

Ghoulam réduit le score sur pénalty

Sonnés, les Verts n'étaient pas KO. Ils refirent surface quand l'arbitre M. Ennjimi désigna le point de pénalty pour sanctionner une main d'Alaixys Romao dans la surface de réparation olympienne. Faouzi Ghoulam prit ses responsabilités et Steve Mandanda à contre-pied (32e : OM 2-1 ASSE). Le défenseur stéphanois inscrivait ainsi son premier but en Ligue 1.

Des occasions de chaque côté

Cette première mi-temps gardait tout son éclat et son suspense : à un coup franc direct de Mathieu Valbuena détourné par une claquette de Stéphane Ruffier, l'ASSE répliqua par un joli mouvement offensif terminé par une frappe trop aérienne de Renaud Cohade (38e). L'ASSE finissait fort. Une frappe de Romain Hamouma était déviée de justesse par Lucas Mendes (42e). L'attaquant stéphanois insista encore mais sa reprise fut bloquée par Steve Mandanda (43e). Enfin, pour couronner cette première mi-temps, Stéphane Ruffier réussit un arrêt de grande classe pour repousser une frappe de Mathieu Valbuena (44e).

Les Verts toujours dans le coup

Au retour des vestiaires, la partie repartait sur les mêmes bonnes bases. Les Verts étaient dans le coup. Giannelli Imbula chipa un ballon brulant devant François Clerc (52e) puis Kurt Zouma smasha sa tête de peu à-côté (54e). Le ballon basculait d'un camp à l'autre. Blessé à la cheville par un tacle sévère d'André Ayew, Yohan Mollo fut contraint de quitter le terrain. Il fut remplacé par Ibrahim Sissoko (62e). Le rythme avait baissé d'un cran.

L'ASSE finit plus fort

Les Stéphanois continuaient d'y croire. Un débordement de François Clerc démarqua Mevlut Erding contré de justesse (74e). L'ASSE s'arrachait sur tous les ballons. Une frappe puissante de Franck Tabanou fut contrée par André Ayew (83e). Ce fut la dernière cartouche stéphanoise. En fin de match, Stéphane Ruffier fut encore décisif en s'envolant pour détournéer une dernière frappe d'André Ayew (90e).

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