OM1899.com

 .Article de om.net

du 26 novembre 2016

 

La route est longue...

Les Olympiens ont encaissé leur plus lourde défaite de la saison face à la meilleure attaque européenne actuelle. Monaco a des certitudes, une force collective, l'OM cherche toujours son identité.

L'OM a touché du doigt la différence entre une formation possédant la meilleure attaque d'Europe et une équipe installée dans un nouveau projet, à la recherche de ses repères, d'un vécu collectif et de maturité, de constance dans les performances, de résultats.

Quatre chiffres, relevés en première période, résument cet état des lieux : 53% de possession, 4 tirs, 3 cadrés en 15 minutes, 3 buts. Le réalisme monégasque a été d'une force incroyable, un opportunisme froid, implacable, mais il a montré les certitudes de Monaco, s'appuyant sur une maîtrise technique de haut niveau, signe de qualité, de confiance aussi. Sur le terrain, il y avait une classe d'écart, le score final en atteste.

Cette défaite valide le regard de Rudi Garcia ces dernières semaines, conscient de la priorité actuelle, à savoir trouver des solutions pour permettre à l'OM de pouvoir arriver dans le top 10, une première étape dans la reconstruction collective. Il convient de trouver un style, une identité aussi et ce n'est pas une mince affaire. Cela sera possible par une continuité dans le travail et la nécessite de ne pas renoncer quand on est confronté à des contrariétés à l'image de celle vécue ce samedi soir en Principauté.

Malgré un premier quart d'heure intéressant où le pressing et une ligne de récupération haute ont permis à l'équipe d'évoluer dans le camp monégasque, l'OM a modulé sa mise en place, tantôt à quatre derrière, tantôt à cinq, avant de se stabiliser à quatre; parfois avec trois attaquants, parfois avec un duo axial Gomis-Thauvin. L'OM se cherche, tente des coups temporaires, cela entre dans la logique des choses quand un nouvel entraîneur arrive et redéfinit une ligne directrice.

L'OM est toujours en quête de solidité, de sérénité. Il a manqué de conviction offensive, si l'on en juge les deux belles occasions de Gomis en première période, de Cabella en seconde. L'équipe a été pénalisée par instant par un manque d'agressivité défensive, de concentration, à l'image du deuxième but. Tous ces détails mis bout à bout expliquent la différence entre une équipe en course pour le titre, qualifiée pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions et une autre à la recherche de son identité. La détermination, la volonté, l'affirmation d'un caractère seront indispensables pour franchir les paliers.

La route vers les hauteurs est encore longue.

 Auteur : Thierry Muratelle

____________________________________________________________

 

 

Article de laprovence.com

du 26 novembre 2016

.

Deuxième défaite de Garcia en Ligue 1, l'OM s'incline largement à Monaco (4-0)

Les Olympiens ont concédé une lourde défaite en Principauté lors de la 14e journée de Ligue 1

Surclassés face à des Monégasques toujours en pleine forme, les Olympiens ont subi une lourde défaite en Principauté (4-0). Une triste soirée pour les joueurs de Rudi Garcia, qui s'inclinent pour la deuxième fois de la saison en Ligue 1, après le revers à Montpellier (3-1).

Malheureusement pour l'OM, tout s'est joué en première période. Et même en seulement 16 minutes. Malgré un bon début de match, les Olympiens ont concédé l'ouverture du score sur un coup franc direct de Gabriel Boschilia (1-0, 23). Le milieu gauche de l'AS Monaco a envoyé une frappe millimétrée dans la lucarne gauche de Pelé. Dans la foulée, Germain a doublé la mise d'une tête imparable (2-0, 29). Idéalement servi par Bernardo Silva, auteur d'un débordement de grande classe, il a trompé Pelé de près. Avant la pause, Germain s'est offert un doublé d'une frappe limpide du pied droit (3-0, 39). En une mi-temps, la rencontre était déjà pliée.

Au retour des vestiaires, les joueurs de Rudi Garcia ont subi la domination et l'emprise de la formation entraînée par Leonardo Jardim. Malgré quelques occasions franches, notamment pour Rémy Cabella, les Olympiens ne sont pas parvenus à inscrire le moindre but. Pire encore, Carrillo a inscrit son but. Entré en jeu, il a trompé Pelé de la tête (4-0, 90+1).

Cette défaite, certes face à un cador européen, actuel meilleure attaque d'Europe, fait mal au moral. Les joueurs de Rudi Garcia devront vite réagir dès mercredi soir à Saint-Etienne (19h) lors de la 15e journée de Ligue 1. Car, après 14 rencontres disputées, l'OM pointe à la onzième place alors que les adversaires n'ont pas encore joué. Avec seulement 17 points au compteur.

Auteur : Pierre-Antoine Trossero

----------------------------------------------------

OM : vivement janvier !

Humilié hier à Monaco, l'OM devra impérativement être renforcé au mercato d'hiver sous peine de vivre une saison longue et pénible

Un monde d'écart. Un fossé abyssal. Assis côte à côte dans les tribunes du Stade Louis-II, Frank McCourt et Jacques-Henri Eyraud, les nouveaux propriétaire et président de l'OM, ont pu mesurer toute la différence entre une équipe taillée pour jouer les premiers rôles en Ligue 1 et la leur.

Ce Monaco-là, également brillant sur la scène européenne (comme il l'a démontré cette semaine face à Tottenham), ne s'est pas construit en un jour. L'ASM a d'ailleurs été bien moins reluisante par le passé, au début de l'ère Jardim. Mais ses dirigeants ont su prendre le temps de fabriquer une machine de guerre, en dosant savamment le mélange entre joueurs d'expérience (encore très performants) tels que Falcao ou Moutinho, et éléments prometteurs dont la liste est longue comme le bras d'un basketteur de NBA. Et dire que Valère Germain, auteur d'un doublé hier, est le fils de Bruno, qu'il est né à Marseille, et qu'avec un peu plus de flair de la part de Vincent Labrune et ses acolytes, il aurait eu le profil idéal pour rejoindre l'OM il y a quelques mois...

Le recrutement de l'écurie princière a été parfaitement pensé. Tout le contraire de celui de l'Olympique de Marseille depuis bien trop longtemps. Il fallait, certes, faire avec les moyens du bord (c'est-à-dire avec des caisses vides), mais le résultat est sans appel : l'effectif actuel n'est pas au niveau. Tout juste peut-il espérer se caler dans le ventre mou de la Ligue 1. Ce qui ne correspond pas exactement à ce que souhaitent ses supporters... Des fidèles qui, eux, ont encore été à la hauteur de leur réputation hier et ont chanté tout au long de la rencontre malgré la déroute. Si la maison bleue et blanche a changé d'actionnaire, de direction (administrative et sportive) et d'entraîneur mi-octobre, elle est pour l'instant contrainte de garder des joueurs limités aussi bien techniquement que tactiquement. Tous ne sont pas mauvais. Certains ont même du talent et feraient le bonheur de bien d'autres clubs en France. Mais c'est trop juste pour pouvoir rivaliser avec des formations du haut de tableau.

À Zubizarreta de jouer

Sur la (piètre) pelouse du stade Louis-II, la bande à Gomis s'est en effet écroulée dès l'ouverture du score de Boschilia sur coup franc (23). Elle avait jusqu'alors presque réussi à faire illusion en enchaînant quelques mouvements collectifs intéressants. Mais ça s'est arrêté là. Il n'y a ensuite plus eu photo. "Bafé" regrettera bien sûr de ne pas avoir saisi une belle occasion pour égaliser trois minutes après le but du Brésilien, mais même s'il l'avait fait, cela n'aurait pas changé grand-chose au(x) problème(s) de cet OM qui boxe dans la catégorie des moyens. Difficile en effet d'imaginer que les Monégasques n'auraient pas repris l'avantage par la suite...

Nommé directeur sportif il y a un mois jour pour jour, Andoni Zubizarreta a du pain sur la planche. Car le mois de janvier et son mercato hivernal sont désormais attendus avec une impatience tout à fait légitime. La priorité des priorités est de trouver un latéral gauche. Henri Bedimo, opéré du ménisque et pas vraiment à son avantage depuis son arrivée, n'a pas de doublure. Et ce n'est pas le pauvre Karim Rekik, qui a encore fait ce qu'il a pu à un poste qui n'est pas le sien, qui fera l'affaire.

Reste que cette urgence dans le couloir n'est rien à côté de tous les besoins de l'OM. Défense (gardien inclus), milieu, attaque : aucun secteur n'est actuellement à la hauteur d'un club qui a l'ambition, à long terme, de retrouver son lustre d'antan. Le marché des transferts qui approche est traditionnellement considéré comme une fenêtre de correction. Et des choses à corriger, il y en a. Énormément. Aux nouveaux dirigeants de jouer. Vivement le mois de janvier !

Auteur : Alexandre Jacquin

----------------------------------------------------

Rudi Garcia tâtonne encore

Les choix du nouveau technicien de l'OM, de systèmes et d'hommes, n'ont pas porté leurs fruits, hier

Devant sa télé, Franck Passi a forcément dû être rattrapé par une pensée furtive. Son OM à lui, certes guère plus brillant, n'a jamais pris une telle déculottée. Après la gifle à Rennes (3-2), une pluie de critiques s'était abattue sur ses frêles épaules d'entraîneur par défaut. Le positionnement de Bouna Sarr en latéral droit lui était notamment reproché. Hier, face à l'armada monégasque, Rudi Garcia a tenté le même genre de pari. L'ancien technicien de la Roma a confié les clés du couloir gauche à Romain Alessandrini. Verdict ? Un coup franc provoqué qui accouche du premier but et vaut un avertissement au Marseillais, un tour de reins face à Bernardo Silva qui conduit au deuxième but et un remplacement à la 38e minute.

Passi aurait été cloué au pilori pour moins que ça. Parachuté à la va-vite pour préparer au mieux l'avenir, Garcia, lui, jouit encore d'une forme d'impunité. Il ne peut pas métamorphoser ses troupes en terreurs de l'élite en quelques séances. Il continue de les découvrir, écope comme il peut et trimbale les erreurs de recrutement de la précédente direction pour qui l'identité des locataires des couloirs ne paraissait pas être une question cruciale.

"Pendant huit minutes, c'était un 4-4-2 pressing haut ; ensuite, un 3-5-2 bloc bas"

Hier, dans un Louis-II qui a longtemps résonné aux chants marseillais malgré la déroute, il a tenté de brouiller les pistes et d'embuer l'esprit des Monégasques. Comment ? En disposant son onze de départ en 4-4-2 avant de basculer sur un 3-5-2 qui avait porté ses fruits au Parc des Princes face à un PSG (0-0) nettement moins flamboyant et aux automatismes bien plus grippés. Les intrépides attaquants monégasques n'ont pas mordu et ont rapidement dynamité l'arrière-garde olympienne.

"Pendant huit minutes, c'était un 4-4-2 pressing haut ; ensuite, un 3-5-2 bloc bas, a explicité Garcia. C'était bien pendant vingt minutes, jusqu'au coup franc. Ce changement de systèmes était prévu, pour surprendre Monaco. Lui faire croire qu'on jouerait à 4, alors qu'on jouait finalement à 3 ou à 5... On a beaucoup joué à 5 car on n'a pas beaucoup eu le ballon. On n'a fait que défendre, leur rendre le ballon. C'est ça la problématique de l'OM. Ce n'est pas un problème de joueurs, ni de systèmes, mais de mauvaise utilisation du ballon. On doit faire mieux, même face à un épouvantail du championnat."

Si, à Montpellier, il avait endossé la responsabilité de la défaite, cette fois, Garcia n'a pas versé dans l'autocritique. "Si c'était à refaire, je referai exactement pareil", a-t-il rétorqué, lui qui n'a cessé d'encourager ses ouailles et de les pousser à croire à un improbable retour. Au moins, son coaching a envoyé un signal positif (sauf pour le sacrifié). "Alessandrini avait un jaune, Clinton est entré pour repasser définitivement en 4-3-3, a-t-il prolongé. Quand on perd 2-0, autant tout faire pour revenir au score. Si on n'avait qu'une carte à jouer, il fallait devenir plus offensif."

"Si Garcia était venu comme un fou, il en aurait pris cinq ou six, a lancé en écho Leonardo Jardim. Il a compris qu'il devait mieux positionner son équipe comme en seconde mi-temps." Où l'OM a "seulement" craqué dans le temps additionnel. Mais le mal était déjà fait.

L'analyse de Rudi Garcia : "Monaco, le chemin à suivre"

Comment s'explique la différence entre Monaco et l'OM ? Est-ce une simple question de talent ?

Rudi Garcia : C'est aussi une différence de confiance. En ce moment, même si les Monégasques jouaient les yeux bandés, ils réussiraient à marquer. Ils n'ont pas eu pléthore d'occasions en première période, mais ça leur a suffi pour nous coller (sic) trois buts sur trois occasions. Nous, on a été très bien pendant vingt minutes. On voulait les surprendre pendant huit minutes avant de passer dans un système plus défensif et moins s'ouvrir (lire en page suivante). Le coup franc du 1-0 met tout par terre. Après, on est incapables d'utiliser le ballon. C'est ça, le problème. Quand on le récupère et qu'on le rend immédiatement à une équipe en pleine confiance, vous lui donnez trop de munitions. On savait à quoi s'attendre. Si on n'était pas capables de mieux utiliser le ballon qu'à Paris, on ne pouvait pas revenir d'ici avec un résultat.

Comment expliquez-vous des difficultés à conserver le ballon ?

(Il réfléchit) On sortait d'un bon résultat contre Caen (1-0). On n'avait pas grand-chose à perdre à part prendre une volée. On se précipite trop, on a trop de déchets. La seule chose positive de ce soir (hier), c'est qu'on rejoue dès mercredi. Au moins, on n'aura pas le temps de gamberger. On va continuer à travailler pour ramener des points de Saint-Étienne, où ce sera également difficile.

Quel discours avez-vous tenu aux joueurs à la pause, alors que vous étiez déjà menés 3-0 ?

Je leur ai dit de ne pas en prendre six, car cela a été le tarif pour quelques-uns, de garder un peu plus le ballon et de se faire plaisir, de montrer un peu plus de caractère et si possible sauver l'honneur. Et pourquoi pas revenir à 3-2. Après, le match aurait pu changer d'âme. On a quelques occasions pour marquer, mais tout tournait en faveur de Monaco, y compris l'arrêt de Subasic sur la frappe de Cabella. On n'a pas d'excuses, on a perdu à cause de nous.

Craignez-vous que ce lourd échec laisse des traces ?

Non. On montrera du caractère comme on l'a fait contre Caen. Il faudra arrêter de prendre des claques pour rebondir. Mais on va repartir. Monaco n'est pas seulement la meilleure attaque du championnat, mais la meilleure équipe d'Europe devant Barcelone, le Real et tous les autres qui jouent un football très offensif. Monaco mérite de nous avoir battus. Ce que fait Monaco, c'est le chemin à suivre.

Auteur : Fabrice Lamperti

 ----------------------------------------------------

Une revanche : en sont-ils capables ?

Humiliés par Monaco, les Olympiens ont été rattrapés par leurs multiples limites. Garcia attend une réaction à Saint-Étienne, mercredi. En sont-ils capables ?

Un physique altéré ?

Les dix-neuf Olympiens ont quitté l'enceinte monégasque lestés de quelques bobos. Mais rien de bien méchant, si ce n'est pour Lassana Diarra. "Fatigué" pour Garcia, le milieu de terrain se plaint des adducteurs. Il a ressenti une petite douleur et a demandé à être remplacé, alors que Maxime Lopez devait initialement céder sa place. Pour l'instant, le mystère enveloppe la nature exacte de sa blessure.

Celui-ci sera dissipé aujourd'hui puisque des examens seront pratiqués dans la journée afin de déterminer le mal dont il souffre. Il n'est pas encore forfait pour le match face aux Verts et l'espoir existe. Hier matin le décrassage programmé à huis clos à la Commanderie est resté très sobre, sans éclat de voix, mais avec de la vidéo au programme, notamment.

Un mental sapé ?

Si, au niveau physique, les voyants semblent virer au vert pour enchaîner avec une deuxième rencontre en l'espace de cinq jours, la question se pose davantage sur le plan mental. En Principauté, les Olympiens ont sombré sans jamais parvenir à se révolter, ni afficher un état d'esprit de guerrier. Comme si la défaite paraissait irréversible. Une telle gifle marque forcément les esprits. Garcia a un rôle majeur à jouer. Il doit panser les plaies psychologiques encore douloureuses, trouver les mots justes pour relancer des troupes meurtries. Il les attend au tournant.

De toute façon, elles n'ont pas le choix. À l'heure du projet "OM champion", tout juste une illusion à l'heure actuelle, chaque sortie ressemble à un examen de passage pour les joueurs qui entendent faire partie de cette aventure ambitieuse. Le cas Romain Alessandrini sera scruté à la loupe. Mis au supplice contre les Monégasques, sorti avant la mi-temps, le Marseillais a vécu un calvaire. Il est très marqué. Il a connu pire par le passé, mais doit se relever. Tout comme ses partenaires. "Ils vont se reprendre. Avec Garcia, ils n'ont pas le choix", croit savoir un intime du groupe.

Des changements à Geoffroy-Guichard ?

Après un tel revers, deux tentations : ne rien changer, pour donner l'occasion à une équipe humiliée de se refaire une beauté ou, au contraire, apporter de nombreuses modifications, parce que ça n'a pas marché. La théorie se heurte à la réalité actuelle : l'effectif n'est pas assez riche pour tout modifier de fond en comble, et pour tenter encore des expériences tactiques. En outre, Garcia sera tributaire de l'état physique des joueurs même si ce problème ne semble pas exister.

D'abord, émerge le cas Lassana Diarra. S'il n'était pas en mesure de jouer, à l'amorce d'une période qui va voir l'OM disputer 6 matches en 22 jours, son remplaçant naturel serait Frank Anguissa, dès lors que Zinédine Machach va purger son match de suspension dans le Chaudron. Face à Saint-Étienne, qui sera privé de deux défenseurs suspendus, Léo Lacroix pour trois cartons jaunes et Kevin Malcuit, qui a pris un rouge hier après-midi, on voit mal l'OM rejouer à trois derrière, ce qui n'a pas fonctionné.

Alors que peut proposer l'entraîneur pour dynamiser un groupe qui a pris un gros coup sur la tête ? Un peu de sang neuf ? Une action, la seule ayant poussé Danijel Subasic à effectuer un véritable arrêt en deuxième période, a vu Clinton Njie perforer la défense monégasque et Rémy Cabella cadrer une frappe. L'un ou l'autre peut prétendre à une place en attaque, Garcia, qui n'avait pas encore utilisé Cabella dans ce rôle, l'a lancé à gauche.

Bouna Sarr et Aaron Leya Iseka n'ayant encore rien montré de nature à bouleverser la hiérarchie, l'éventail des choix n'est pas des plus étendus. Ni devant, ni derrière, ni au milieu, ni dans le but...

Auteur : Fabrice Lamperti / Mario Albano

 ----------------------------------------------------

 ----------------------------------------------------

 

Toute reproduction intégrale ou partielle des textes ou photos est strictement interdite.